Je voyais, juste sous la Lune, une présence, une forme, une clarté.
Et, au-dessus des nuages, un astre, un horizon, une voie.
Je suivais un oiseau dans la nue, percevais une flamme dans l’espace, sentais un miracle sur Terre.
Je me savais entouré d’ailes, de légèreté, d’éclat.
Avec, en toile de fond de mon être, un visage pareil à un songe.
Des traits faits d’air et de lumière. D”azur et d’éther. D’étoile et d’or.
Une face comme un océan éternel aux vagues à l’infini dont l’écume argentée vient chanter sur une plage de vie, de vent, de sable et de beautés à perte de vue...
Je voyais, juste sous la Lune, une réalité, une silhouette, une blancheur.
Et, au-dessus des nuages, une lueur, un paysage, un ciel.
Je contemplais la gloire de la Création à travers le passage, haut dans mon âme, de cette Vénus nommée Farrah Fawcett.