lundi 12 mai 2014

12 - Laideur du diable, beauté de l'ange

Au charme maléfique du chanteur transexuel à la face hirsute, séduisant provocateur entre sirène et loup sachant envoûter les foules sans défense morale ni éducation esthétique, j’oppose l’éclat angélique du visage de Farrah Fawcett qui rayonne d’une beauté claire faite de lumière, non d’ombres.

Des traits femelles sans malice, une vénusté naturelle, une Eve éternelle au front virginal, au regard sain, au sourire comme un cierge au lieu de ce monstre velu sorti de l’antre de nos hérésies en vogue !

Le ravissement que provoque la flamme fawcettienne prend sa source non dans la merde du LGBT mais dans les “gènes du Cosmos”.

Ses grâces sont issues du coeur des astres, du plus profond de l’Univers, de la main créatrice de Dieu. Et conformément aux lois implacables magnifiquement ordonnées de la vie ici-bas, elles sont retombées en poussière dans le tombeau.

Ce qui fait tout le prix de l’éphémère efflorescence terrestre.

Tandis que l’ensorcelante laideur de Conchita Wurst, troublante créature de mensonge et d’inversion, statue d’artifices hormonées, provient du burin pernicieux d’idéologues pervers ayant décrété que pour plaire au Soleil des gauchistes, Mars devait singer Vénus...

Non, contrairement à ce qu’on prétend, le diable n’est pas beau. Il est même fort laid. Sauf que ce sont ses adeptes qui ont la vue déformée.

Conchita Wurst est une vaste blague à barbe que des millions d‘adultes naïfs prennent au sérieux.

Ceux qui se laissent éblouir par ce Christ inversé à la chevelure d’amante fatale ne sont que les pigeons d’une civilisation qui vide leur cervelle mode après mode...

Conchita Wurst n’est que le pantin (volontaire ou non) des LGBT. Il incarne les aspirations dénaturées des masses embrigadées par des imposteurs au pouvoir.

Entre le carnavalesque, grotesque, pileux Conchita Wurst et la séraphique Farrah Fawcett -et mieux vaut en rire- il y a des “progressistes” qui succombent du “bon côté”.

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